Mali, une liesse méritée
04/02/2013
Je suis aussi Malien. De Conakry à Gao, je me sens chez moi. Mes arrières-grands-pères faisaient cette distance à cheval, à pied ou à dos d’ânes. Et moi ? De Siguiri (ville guinéenne), je peux prendre ma petite moto, voire ma bicyclette, et aller passer une nuit à Bamako sans me dépayser. On est en liesse. Tu vas t’en apercevoir cher lecteur, mais crois-moi quand je te dis que je suis…